COLIS WEB : LA LIVRAISON ULTRA EXPRESS EN 2H MONTRE EN MAIN.

Lorsqu’on effectue un achat sur des sites de vente en ligne, nous sommes toujours pressés qu’il arrive le plus rapidement possible quitte à aller le chercher nous même en magasin, un procédé bien étrange appelle « click and collect ». Nous vivons dans l’instantané et la perspective de devoir attendre nous est devenue totalement étrangère dans ce monde où tout va si vite. Une startup lilloise l’a bien compris et s’est lancé sur le créneau de la livraison ultra rapide. Un phénomène qui a d’abord touché d’autres pays comme l’Angleterre avant d’arriver dans l’hexagone.

Coliweb, notre jeune startup créée par Remi Lengaigne  à innover de manière assez impressionnante dans la livraison d’achat en ligne. A travers son réseau de coursiers et de boutiques physiques, l’entreprise arrive à assurer un service de livraison en moins de deux heures !!  Le cyber-acheteur impatient de voir son bien arriver va alors sélectionner l’option colis web dans ses choix de livraison lors de la commande. Néanmoins, l’enseigne dans laquelle il souhaite effectuer son achat doit se situer à proximité (même code postal) et avoir suffisamment de stocks à sa disposition. Les coursiers vont tout simplement récupérer le colis dans le magasin le plus proche du lieu de livraison puis le déposer au domicile du client. Le service est tellement opérationnel qu’une livraison de 2 h serait réalisée en moyenne en seulement 55 minutes !!!

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De plus la prestation est moins chère et plus rapide que les solutions existantes actuellement comme Chronopost et TNT. En effet, l’offre reste compétitive comparé à ce qui se fait actuellement sur le marché: la livraison est facturée aux alentours de 12 euros aux enseignes qui de leur côté ne se privent pas pour répercuter les frais sur le consommateur.

La startup prévoit de lancer en 2014, un service de géolocalisation permettant de suivre le coursier tout au long de sa livraison dans le but de rassurer le client toujours plus exigeant et impatient.

Sources:

Blog.keycoopt

venteprivée.com

journaldunet

Crowdfunding: à l’assault des banques?

Les HotNewsDuWeb se penchent ce soir sur un sujet qui touche au porte monnaie: le financement. Mais attention, pas n’importe quel financement! Il s’agit là du financement de projets! Vous savez, quand vous avez une idée géniale pour devenir riche, et bien il faut avant tout trouver des fonds pour se lancer. Avant on avait les banques. Après les banques nous ont fait croire qu’ils nous financeraient. Enfin le crowdfunding a explosé… mais attention, la discipline à ses limites.

Mais alors comment marche le crowdfunding? C’est tout simplement le lancement d’une idée ou d’un projet sur une plateforme de financement participative. Pour réussir un bon lancement, il faut bien évidemment une bonne idée, mais aussi mobiliser ses proches et sa famille pour voir si la moutarde monte et enfin s’ouvrir au monde.

Ce modèle économique, qui explose aux USA, attire les plus gros, comme le prouve la prise de participation financière de Google envers Lending Club. Certains, très optimistes, déclarent qu’« à terme, le crowdfunding a vocation à remplacer des pans entiers du système financier » (Charles Egly, cofondateur de Prêt d’Union).

Voilà un petit récapitulatif des différents modèles de crowdfunding:

– Les plateformes de dons, qui sont spécialisés dans la levée de fonds pour des oeuvres charitables (JustGiving),

– Le financement sans contrepartie financière, dont la contrepartie est faite en nature en fonction du montant du « don » ou de la « souscription » apporté (KickStarter),

– Le financement avec prise de participation, l’internaute investisseur devient un coproducteur et récolte des contreparties si le projet est une réussite commerciale,

– Le prêt participatif, entre particuliers, micro crédits, aussi appelé P2P Lending.

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La bulle du Crowdfunding est donc lancée. Mais qu’en pense les banques? Pour ne pas tourner autour du pot, il s’agit d’un rapport de force à la David et Goliath, avec les banques qui financent en France chaque mois 3 milliards d’euros de crédits à la consommation quand Prêt d’Union en finance 5 million.

Pour autant les banques prennent en considération cette évolution des sources de financement et se penchent sérieusement sur l’opportunité. Certaines, comme le Crédit Mutuel Arkéa, prennent des parts dans ces business (Prêt d’Union), à l’instar de Google…

Enfin, pour nuancer l’effervescence de cette tendance, certaines critiques sont à apporter à ce système:

La multiplicité des créanciers ne va t-elle pas conduire à une complication des relations entre emprunteurs et financeurs?

Le Crowdfunding se base sur l’injection d’argent en début de projet. Qu’en est t-il des besoins de financement en cours de projets, les imprévus, le besoin en fonds de roulement ou toutes autres ressources nécessaire à la bonne santé d’une entreprise en cours de vie?

Le chemin est donc périlleux, mais le web offre tellement de belles perspectives pour ceux qui savent les saisir…

Sources:

http://www.lemonde.fr/economie/article/2013/10/20/la-france-se-met-a-l-heure-du-crowdfunding_3499710_3234.html

http://www.lsa-conso.fr/et-si-le-crowdfunding-etait-la-fausse-bonne-idee-du-commerce,150358

http://chouette.ulule.com/post/44532709418/les-4-grandes-familles-du-crowdfunding-petit-guide-a

L’empire du m-commerce

Depuis une dizaine d’année on se développer le commerce en ligne. Aujourd’hui c’est autour du m-commerce (ou bien le commerce par les mobiles).  C’est un marché qui est en pleine croissance outre-Atlantique . Elle reste plus faible en Europe. Mais avec l’arrivée des nouveaux smartphones, la tendance va s’accentuer.

Imaginez … Vous rentrez dans un magasin, n’importe lequel, et vous recevez la notification sur votre portable vous informant des promotions produit, des nouveautés. Après votre smartphone vous guide à travers le magasin pour trouver les produits recherchés. Quand vous rentrez dans un nouveau rayon , vous recevez une notification sur les produits, les nouveautés, les promotions se trouvant dans ce dernier. De fur et à mesure que vous flânez dans le magasin, vous scannez avec votre smartphone l’ensemble de vos produits.

Arrivez à la caisse, vous réglez vos achats avec votre smartphone et une reconnaissance digitale de votre empreinte. Les course deviennent rapides et presque sympa…

M-commerce, what else?

http://www.presse-citron.net/mobile-et-si-le-m-commerce-ne-passait-pas-par-le-e-commerce

Internet: les femmes aiment-elles le porno?

Fait avéré, la pornographie (12% des sites Internet) a longtemps été au top des requêtes des moteurs de recherche Internet jusqu’à ce que les réseaux sociaux détrônent ce haut lieu de la culture populaire web.

Parental advisory18+Mais malgré ce revers, le marché du sexe en ligne reste une manne financière plus que conséquente qui commence à séduire de plus en plus les femmes. En effet, selon un sondage Ifop, en 2013, 35% des jeunes filles de 15 ans auraient déjà consulté un site à caractère pornographique.

Ce sondage est confirmé par une autre enquête de l’Ifop menée 2012 auprès d’un échantillon de 579 femmes qui affirment pour 3/4 d’entre elles avoir eu au cours de leur vie une expérience avec la pornographie! La différence avec le bas instinct masculin réside dans le fait que les femmes recherchent avant tout un angle plus réaliste de la pornographie, avec des plans d’ensemble (et non pas des zooms sur les parties génitales), des scénarios plus développés mais surtout des expressions naturelles et des échanges sensuels.

Il n’empêche, Internet permet aux femmes de s’épanouir individuellement, de laisser place à leurs fantasme sans avoir peur du regard des autres, d’autant plus qu’elles peuvent faire du shopping de mecs online: dans un contexte humoristique, elle peuvent s’amuser librement à mettre des hommes dans leurs paniers grâce à adopteunmec.com. L’objectif de ce site est résolument non caché: il ne s’agit pas de trouver l’amour, mais un coup pour une nuit!

Pour finir, une autre tendance sexuelle se démarque de cette étude: 18% des filles de moins de 25 ans se disent attirées sexuellement par une autre fille, fait exacerbé par la sortie récente de La vie d’Adèle, fresque contemporaine sur la recherche d’identité sexuelle d’une jeune lycéenne (librement inspiré de l’imagination d’une célèbre BD blagueuse, Julie Maroh).

Jusqu’où iront-elles?

Sources:

http://www.cosmopolitan.fr/,adopteunmec-le-site-de-rencontres-decomplexe,2117,1367154,5

http://www.psychologies.com/Couple/Sexualite/Desir/Articles-et-Dossiers/Sexualite-des-femmes-decomplexees/4Une-femme-sur-deux-atteint-souvent-l-orgasme

http://www.leparisien.fr/laparisienne/societe/comment-la-culture-porn-influe-sur-la-sexualite-des-jeunes-17-10-2013-3234389.php

http://www.journaldugeek.com/2010/06/02/quelques-chiffres-pour-le-porn-sur-internet/

La loi anti-Amazone: le point de vue des Royaumes-Unis

Cet article, reprit du « Financial Times » par « Courrier International », met en avant l’opinion défavorable du journal anglais sur la nouvelle loi anti-Amazone votée en France le jeudi 3 octobre 2013.

Objectifs de la loi Anti-Amazone

Pour défendre les intérêts des librairies indépendantes, les députés ont voté à l’unanimité l’interdiction des concurrents en ligne des librairies d’offrir à leurs clients  la gratuité des frais de port et la remise de 5% sur le prix unique du livre. Cette loi s’inscrit dans le combat beaucoup plus ambitieux qui est la défense des symboles de la culture française (ex : les librairies de quartier).

L’opinion anglaise 

Pour le « Financial Times », cette nouvelle mesure met surtout en avant « l’ineptie de l’interventionnisme de l’Etat ».En effet, au lieu de subventionner les libraires indépendantes, les députés ont préféré pénaliser les concurrents en ligne.

De plus, en cherchant à défendre les librairies indépendantes, les législateurs ont oublié un principe fondamental du commerce : la satisfaction du client.

Pistes de réflexion:

–       Cette nouvelle loi va t-elle vraiment aider les librairies indépendantes ?

–       Cette loi pourras t-elle changer les habitudes des cyber-acheteurs de livre?

–       Que pensez-vous du point de vue du « Financial Times » sur cette loi ?

http://www.courrierinternational.com/article/2013/10/08/loi-anti-amazon-le-retour-de-poujade

La SNCF revend son comparateur de vol en ligne Liligo à Odigeo

Trois ans après l’achat du comparateur de vol en ligne Liligo, la SNCF le revend à Odigeo.

SNCF – Liligo

En septembre 2010, la SNCF avait racheté Liligo pour un montant de 20 millions d’euros. L’objectif de cette acquisition était de renforcer sa position dans le créneau de « l’infomédiation », dont le comparateur de voyage français EasyVoyage est un leader. Mais la SNCF n’a pas réussi à mettre en place les synergies espérées au moment de l’acquisition.

Odigeo – Liligo

Odigeo est le numéro un des ventes de voyage en ligne. Le groupe est né en 2011 de la fusion entre Opodo, Go Voyage , eDreams et Travellink (agences de voyage en ligne). Leur volume d’affaire cumulé dépasse les 4 milliards d’euros dans 38 pays.

Le rachat du comparateur de vol en ligne Liligo, va permettre à Odigeo de renforcer sa position sur le marché du commerce de voyage en ligne.

http://www.journaldunet.com/ebusiness/tourisme/liligo-revendu-1013.shtml